jeudi, mars 22, 2007

1ere rencontre MINT à l'arrache








En ce jour du 2 mars de l'an 2007, alors que la pluie tombait à torrent, comme pour rafraîchir ces corps et esprits ébouillantés par le chant des sirènes de l' Indochine, deux âmes amies, poussées par le même élan se sont dit "oui" ...Enfin, euh, entre autre quoi...


Oui, plutôt pas mal de conneries, beaucoup de délires sans queue ni tête, inspirés par l'euphorie du moment, le kitchy de l'endroit, la folie de ses hôtes, et quelques verres colorés...Ca aide !!Ce vendredi restera, pour un tas de raisons, gravé dans les anales de l'imprévu...Louve et Jalala, du virtuel au réel, sans passer par la case prison


Juste le début d'une grande et belle histoire d'amitié, et comme c'est ici que tout a commencé... Nous nous devons de vous le faire partager !Ames sensibles, passez votre chemin !Vivement le Visu généralAnd now... the pictures....


(texte de Nell)

Mon coup de coeur du jour

mardi, mars 13, 2007

Sur mon cou GENET





Sur mon cou sans armure et sans haine, mon cou

Que ma main plus légère et grave qu’une veuve

Effleure sous mon col, sans que ton cœur s’émeuve,

Laisse tes dents poser leur sourire de loup.


Ô viens mon beau soleil, ô viens ma nuit d’Espagne,

Arrive dans mes yeux qui seront morts demain.

Arrive, ouvre ma porte, apporte-moi ta main,

Mène-moi loin d’ici battre notre campagne.


Le ciel peut s’éveiller, les étoiles fleurir,

Ni les fleurs soupirer, et des prés l’herbe noire

Accueillir la rosée où le matin va boire,

Le clocher peut sonner : moi seul je vais mourir.


Ô viens mon ciel de rose, ô ma corbeille blonde !

Visite dans sa nuit ton condamné à mort.

Arrache-toi la chair, tue, escalade, mords,

Mais viens ! Pose ta joue contre ma tête ronde.


Nous n’avions pas fini de nous parler d’amour.

Nous n’avions pas fini de fumer nos gitanes.

On peut se demander pourquoi les Cours condamnent

Un assassin si beau qu’il fait pâlir le jour.


Amour viens sur ma bouche !Amour ouvre tes portes !

Traverse les couloirs, descends, marche léger,

Vole dans l’escalier plus souple qu’un berger,

Plus soutenu par l’air qu’un vol de feuilles mortes.


Ô traverse les murs ; s’il le faut marche au bord

Des toits, des océans ; couvre-toi de lumière,

Use de la menace, use de la prière,

Mais viens, ô ma frégate, une heure avant ma mort.


mardi, mars 06, 2007

Le Voyage




O Mort, vieux capitaine, il est temps! levons l'ancre!

Ce pays nous ennuie, ô Mort! Appareillons!

Si le ciel et la mer sont noirs comme de l'encre,

Nos coeurs que tu connais sont remplis de rayons!


Verse-nous ton poison pour qu'il nous réconforte!

Nous voulons, tant ce feu nous brûle le cerveau,

Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu'importe?

Au fond de l'Inconnu pour trouver du Nouveau !"


(dernière partie du long poème "Le Voyage" de Baudelaire)

lundi, mars 05, 2007

Coup de coeur




S'il y a quelqu'un que ça interesse
Qu'il m'envoit son nom et son adresse
Je lui raconterai l'histoire
De l'homme qui pleurait sans espoir
Il pleurait des larmes de verre
Et quand elles atteignaient la terre
Cela faisait une musique
Angélique et fantomatique
L'air en était toujours le même
Un air qui racontait l'histoire
D'une femme à l'âme éphémère
Qui tombait un jour dans la mer
Poussée dans le dos par un homme
Qui pleurait des larmes de verre
S'il y a quelqu'un que ça interesse
Qu'il m'envoie son nom et son adresse
S'il y a quelqu'un que ça interesse
Qu'il m'envoie son nom et son adresse
Découverte de Michel Polnareff

louve et ses trésors




il en manque 1 ....

Polnareff Bercy 4 mars 2007




Après trente-quatre ans d'absence, Michel Polnareff a offert vendredi soir à Paris-Bercy à un public en émoi près de deux heures de concert chargées d'émotion.

De "Je suis un homme" à "On ira tous au paradis", Michel Polnareff a offert vendredi 2 mars au soir à Paris-Bercy à un public en émoi près de deux heures de concert chargées d'émotion, qui marquaient son retour sur une scène française après trente-quatre ans d'absence.
C'est d'abord la silhouette de l'artiste en ombre chinoise, masquée derrière un rideau, sur des accords de guitare de "La Poupée qui fait non" qui est apparue, devant les quelque 17.000 spectateurs. Puis, Polnareff s'est présenté et nous dit que c'etait le 3eme épisode et qu'il espérait qu'il soit aussi riche et intense que les 2 précédents. En chemise blanche et ensemble pantalon veston de cuir noir. Jean-Claude Jitrois, il a ouvert le concert avec "Je suis un homme", sous une gigantesque paire de lunettes noires cerclées de blanc, se scindant ensuite en deux écrans géants.

De "La Poupée qui fait non" à "Y'a qu'un ch'veu"

Entouré d'une énergique formation rock, dont Mino Cinelu aux percussions, c'est un Polnareff à la voix de tête inchangée qui enchaînait avec "La Poupée qui fait non", son premier disque (1966), suivi de "L'Amour avec toi".
L'artiste âgé de 62 ans, mis en valeur par d'impressionnants jeux de lumière, poursuivait avec un endiablé "Tam-Tam", au solo de guitare efficace.
Duo intimiste ensuite, corde et piano, pour ce qui est l'un de ses titres préférés, "L'Homme qui pleurait des larmes de verre", suivi d'une version de "Qui a tué grand-maman?", sur laquelle Polnareff était rejoint autour du piano par cinq choristes.


Au total, l'artiste a interprété une vingtaine de chansons dont certains de ses plus grands succès. Le public a ainsi eu droit à un "Bal des Laze" mâtiné de heavy metal, à "Y'a qu'un ch'veu" réorchestré façon country, donnant lieu à une véritable communion entre l'idole et ses fans.
"Lettre à France", "Holidays", "Love Me Please Love Me", "Tout, tout pour ma chérie", "Goodbye Marylou" ou encore "Je t'aime", étaient aussi à l'affiche de ce concert inaugural, tout comme son dernier single "Ophélie flagrant des lits" et un inédit "Position".

La scène était constituée d'une immense arche luminescente encastrée d'écrans vidéo, sur un fond de ciel noir parsemé d'étoiles scintillantes. Flottant dans le vide, une douzaine de sphères de toutes tailles à la couleur changeante, le tout formant une sorte de système stellaire dont Polnareff était le centre.


Le spectacle s'achevait en beauté sur un immense karaoké avec "On y ira tous au paradis". Titre pour lequel les paroles défilaient sur les lunettes transformées en écrans géants, repris en choeur par tout Bercy, bras levés au ciel, avant qu'une pluie de milliers de papillotes argentées -sous la forme des lunettes emblématiques du chanteur- ne tombe des cintres.

3 rappels ..... Et je l'ai trouvé si appaiser d'être parmis nous, si proche... Nous tenant la main ...

Côté fans, toutes générations confondues, certains portaient la perruque blonde bouclée et les célèbres lunettes noires, un lot vendu 28 euros sur place.


Merci Michel

vendredi, mars 02, 2007

CEREMONIA ce soir .....




Ce soir je ne donne pas mon âme au diable

Ce soir viendra un marchand de sable

Je sais que je suis en progrès

Je suis sans... regrets

Je resterai toute seule dans ma chambre

A attendre qu'on veuille bien me prendre

Je sais que je n'en reviendrai

On ne sait... jamais


Des croix en bois

Et que viennent les bras dans nos bras

A croire que toi

Que toi et moi on ira


Ce soir on reste tout seul dans nos chambres

A attendre qu'on veuille bien nous entendre

Fermer les yeux nous imaginer

N'oubliez... jamais

Ce soir je prie pour tout ce que j'ai fait

Ce soir je prie pour tout ce qu'on a fait

Je sais que je n'en reviendrai

Reviendrai... jamais


Des croix en bois

Et que viennent les bras dans nos bras

A croire que toi

Que moi et toi on ira

INDOCHINE .... Ce soir .....

Alors viens sur moi
Sous mes doigts
Sur ma peau
Dans ma vie
Alors lève toi
On est libre
De survivre
À nos vies




Affiche Tournée



Et bien nous y voila, jour J... Quelle semaine de folie et encore merci à Chris et soeurette (pour Tristan)
2 photos des répet d'hier au FN.
After mint apres le concert ....