LUBERON JUILLET 2006 Le Louveteau

Ma mère elle a quelque chose
Quelque chose dangereuse
Quelque chose d'une allumeuse
Quelque chose d'une emmerdeuse
Elle a des yeux qui tuent
Mais j'aime ses mains sur mon corps
J'aime l'odeur au-dessous de ses bras
Oui je suis comme ça
Dans les yeux de ma mère
Il y a toujours une lumière
Dans les yeux de ma mère
Il y a toujours une lumière
L'amour je trouve ça toujours
Dans les yeux de ma mère
Dans les yeux de ma mère
Il y a toujours une lumière
Ma mère elle m'écoute toujours
Quand je suis dans la merde
Elle sait quand je suis con et faible
Et quand je suis bourré comme une baleine
C'est elle qui sait que mes pieds puent
C'est elle qui sait comment j'suis nu
Mais quand je suis malade
Elle est la reine du suppositoire
Dans les yeux de ma mère
Il y a toujours une lumière
Dans les yeux de ma mère
Il y a toujours une lumière
L'amour je trouve ça toujours
Dans les yeux de ma mère
Dans les yeux de ma mère
Il y a toujours une lumière
Ma mère a quelque chose
Quelque chose dangereuse
Quelque chose d'une allumeuse
Quelque chose d'une emmerdeuse
Dans les yeux de ma mère
Il y a toujours une lumière
Dans les yeux de ma mère
Il y a toujours une lumière
Dans les yeux de ma mère.

KDO RHCP WERCHTER 2006

http://video.google.com/videoplay?docid=-3979746648226949027&q=Rock+Werchter+2006

Encore un tout grand merci à Sir Chumps

Souvenirs Souvenirs

TROUVAILLE RHCP

Voila ma petie trouvaille de cette nuit...

http://www.jr.com/JRProductPage.process?RestartFlow=t&Merchant_Id=1&Product_Id=3959947

Bon demain ça sera la croisade pour le trouver...

Allez si je la trouve pas, faudra sortir les violons... ;-)

FRANCOFOLIE DE SPA 2006 JEAN-LOUIS AUBERT

À 51 ans, l’ancien chanteur du groupe Téléphone nous a plongés dans son bain de jouvence. Entouré par quatre jeunes musiciens, pour défendre son dernier opus, il a mis la place de Spa en poche dès le premier titre. Facile je dirais!

Tout au long du concert, Aubert emmena l’assistance, à coups d’excellents riffs, dans des ambiances purement rock et dans des moments de tendresse. Mais sans jamais casser réellement le rythme de l’ensemble. Ce qui, pour d’autres artistes, pose parfois problème.

Mon 2eme concert de ce grand monsieur qui a une de c'est peche! Un merci particulier pour ce sourire et la joie d'être avec nous! Et aussi de nous avoir si gentillement dis aurevoire et dis d'être prudent sur le retour ...

Alter Ego!

PS : hééééé Jean-Louis, t'as pas un fils sous le coude pour moi? ;-)

FRANCOFOLIE DE SPA 2006 CALI

Mon coup de coeur des Francofolies et je regrette pas d'être rentrée un peu plus tot de vacances pour cette soirée de fou!

Cali en plus de tes textes qui me touches, ta voix hors norme... Tu es une bête de scène... Voila je viens de me commander ton dvd!

ZIDANE s'en va seul

Pour son dernier match, Zinédine Zidane ne sera pas resté jusqu'à la fin. Victime de la provocation de Materazzi et expulsé, celui qui a tant fait pour le football méritait sans doute une plus belle sortie. Malgré son geste, les Bleus ne lui en veulent pas et sont venus lui dire un grand merci.

Je tiens aussi à lui dire merci... même si la déception est tjs bien présente... Un peu comme une histoire d'amour mal achevée...

Allez Zinédine
Comme quoi les hommes rêves encore
Allez Zinédine
Comme quoi tout espoir n'est pas mort

Allez Zinédine
Comme quoi l'amour n'est pas fini,
Allez Zinédine
A quoi peut tenir une vie

Allez Zinédine
Comme quoi les hommes n'ont pas tort
Allez Zinédine
Comme quoi l'amour est le plus fort

Allez Zinédine
Comme quoi rêver nous donne envie
Allez Zinédine
Comme quoi tout espoir est permis

Video WERCHTER 2006 RHCP

http://www.youtube.com/watch?v=z9Uuh2TRivY&search=werchter%202006%20rhcp

Souvenirs Souvenirs... Et voila de mes yeux vu pour ceux qui n'ont pas eu la chance d'être là!

LOUVE et son Louveteau

" Qui n'a pas d'enfant n'a pas de lumière dans les yeux. "


C'etait dimanche juste apres avoir fait la route de Werchter... On constatera qd même, un peu la fatigue .... Enfin de l'excellente fatigue!!!

TORTURE ME

Cette chanson des Red Hot est très bonne musicalement (l'intro est superbe), et critique le milieu musical qui nous entoure.

Anthony nous parle ici de son plaisir de souffrir et d'être malheureux.

Because I'm happy to be sad
Car je suis heureux d'être triste
I want it all I want it bad
Je le veux vraiment

Après cette intro qui donne le ton tout de suite quant à son état d'esprit, il nous parle de la musique pop qui selon lui envahit de plus en plus l'industrie de la musique et qui annonce probablement la fin de la " vraie musique ".

Le refrain de la chanson intervient à ce moment là. Il exige dedans qu'on le torture, qu'on l'ensorcelle.Je ne suis pas exactement certain mais je pense qu'il y a un lien avec le fait qu'il ne peut pas supporter d'écouter de la pop, c'est comme une torture pour lui. Son seul remède pour aller bien est donc de souffrir.

Dans le mini couplet qui suit, il dit que le vent le pousse au loin : on peut donc penser que sa musique est poussée vers la sortie et condamné à disparaître. Une référence sûrement à ce qu'on entend sur les ondes de nos radios et sur les chaîne musicales, qui " balaient " la bonne musique pour des daubes commerciales.

Le refrain de nouveau. A partir de là, le rythme se ralentit complètement.

Anthony dit que Dieu désire continuer à rester debout. Il en remet une couche sur la musique pop :
Let's turn it up and dumb it down
Augmentons le volume laissons là se ramasser (dans le sens plus on mettra fort le volume, plus les gens se rendront compte du niveau musical et arrêterons donc d'écouter).

Pour finir ce couplet, il reprend le vers sur le vent qui l'éloigne, puis celui sur la propagation de cette musique, Le rythme repart de nouveau à 100 à l'heure, avec un magnifique solo à la guitare. Le refrain retentit de nouveau, 2 fois pour conclure.

SNOW

Une bonne chanson des Red Hot avec une très belle musique et un texte bien travaillé.
Dans celle-ci, Anthony Kiedis nous parle de son combat avec la drogue pour ne pas replonger en nous montrant son incertitude sur certains points et réclame un peu de notre attention sur ce qu'il dit :
Hey oh listen what I say ohHey oh
écoutez ce que j'ai à dire
come back and, hey oh look at what I say oh
revenez et, hey oh penchez vous sur ce que j'aborde (comme sujet)

Il évoque dans cette chanson un monde magnifique, et le monde actuel dans lequel nous vivons et où règne de nombreux problèmes (sans les citer mais en montrant tellement d'intérêt pour l'autre qu'on devine que l'actuel ne convient pas). Ces deux mondes apparament sont séparés par un cratère, un espace infini tellement ils sont opposés, et qu'il ne parvient pas à atteindre.
Il dit d'ailleurs.

Divided by a world so undecided
divisé par un monde si incertain
And there's nowhere to goet
il n'y a nulle part où aller

Il veut donc dire par là qu'il ne peut pas tout sacrifier et quitter ce monde car il neut peut partir nulle part. Il s'imagine donc son monde à lui où tout serait parfait à ses yeux et influencer sur son inspiration musicale.

Deep beneath the cover of another perfect wonder
Profondément sous la couche d'un autre merveille parfaite (référence donc à un endroit magnifique)
Where it's so white as snow
Où tout est blanc comme neige (neige fait référence à la cocaine)
The more I'd like to let it go... hey oh whoa
Ce que j'aimerais le plus c'est de pouvoir y filer...
hey oh whoa (c'est à dire replonger dedans et être inspiré et se sentir bien, comme quand il se droguait)

Il parle donc de neige car cela évoque la douceur, le calme, la pureté, l'infini, mais donc aussi la poudre lol

Il essait de se convaincre qu'il n'est pas possible d'y accéder mais il reconnait que c'est dur de lutter
(il se demande donc quand va-il arrêter d'y penser et d'être obseder par cette idée).

Il ajoute même que plus il y voit clair, moins il sait ou il en est.Il semble réfléchir pas mal sur cette question : peut-il atteindre cet univers qui paraît si tranquil et si magique, et qui prend une part importante de son passé (dû à sa dépendance à la drogue qui aurait le détruire). D'un point de vue musical en tout cas, il semblerait lui convenir à merveille puiqu'il il évoque aussi ses anciennes chansons (sans en citer une précisément), une brève retrospective de son passé musical.

Running through a field where all my tracks will
Je marche à travers un chemin où je retrouve toutes mes chansons

Cette phrase confirme bien qu'il est dans un monde à part qu'il imagine et rêve, ou qu'il plane lol

Concernant le refrain, il se demande quand il aura conscience qu'il n'est pas possible dy aller et ça lui torture lesprit. Il se dit donc qu'll ferait mieux de croire qu'il est mieux de ne pas partir car dans tous les cas il ne peut pas aller nulle part ailleurs. Il conclut le refrain avec cette phrase :

When it's killing me, what do I really need, all that I need to look inside
Quand ça me torture (l'esprit), ce que j'ai réellement besoin, tout ce dont j'ai besoin c'est d'y voir plus clair ( au plus profond de soi)

Il parle plus ou moins donc de force intérieure pour lutter, et se convaincre de ne pas revivre ça car ça peut le détruire.

DANI CALIFORNIA

Interprétation personnelle comme toujours ou presque, donc corrections sur la page appropriée ou en messages internes...Dans cette chanson A. Kiedis rends hommage à la Californie ("Marque de fabrique" des Red Hot en quelque sorte, thème récurrent dans leurs chansons : voir Californication) soulignant ses aspects positifs comme négatifs. Le "You" et le "She" font donc référence à la Californie. La californie fait rêver par son soleil et la ville d'Hollywood, mais elle est également le symbole de nombreux destins brisés...

California rest in peace (Californie, repose en paix)
Simultaneous release (Simultanément, renouvelle-toi)
California show your teeth (Californie montre moi tes dents)
She's my priestess, I'm your priest, yeah, yeah (Elle est ma prêtresse, je suis ton curé ouais ouais)
She's a lover baby and a fighter (C'est un bébé adoré et une battante)
With a name like Dani California (Avec un nom comme Dani Californie)
Day was gonna come when I was gonna mourn ya (Un jour viendra ou je mourrais ici)
A little loaded, she was stealin' another breath (Un peu chargée, elle aura volée un autre souffle)I love my baby to death (J'aime mon bébé à en mourrir)
Who knew the other side of you ? (Qui connaît ton autre côté ? )
Who knew what others died to prove ? (Qui sait pourquoi les autres doivent mourrir pour y arriver ? )
Too true to say good bye to you (Trop vrai de te dire au revoir)
Too true too sad sad sad... (Trop brai, trop triste triste triste)

Je Compense Donc Je Suis

Un morçeaux de camembert bien crémeux
Un carré de chocolat et puis deux
Un Taj-in de poulet au citron
Trois cuillères de crème de marrons
Des fraises avec de la crème chantilly
Des rondelles de saucisson aussi
Un petit bout de pâté pour gouter
Un pot de glace Hagendas en entier
Une part de pizza aux anchois
Un yaourt abricot,fruit des bois

Je compense donc je suis
Et je m'en balance
Pas mal,si j'ai grossi
Je pense
Je pense alors je fuis
Je ne me vois même pas
Je réfléchis
Depuis que t'es parti loin de moi
Ton frigo lui au moins,ne me quitte pas

Des biscottes avec du Tamara
Des rigatonis au gorgonzolla
Une tartine de beurre et confiture
Moitié framboise et puis l'autre,moitié mûre
Une crème vanille - caramel
Un thé au jasmin avec du miel
Noix de cajou,cacahouètes,un mélange
Pour faire passer un verre de jus d'orange
Gigot d'agneau et gratins Dauphinois
Des bonbons,des gâteaux ecétéra..

Je compense donc je suis
Et je m'en balance
Pas mal,si j'ai grossi
Je pense
Je pense alors je fuis
Je ne me vois même pas
Je réfléchis
Depuis que t'es parti loin de moi
Ton frigo lui au moins,ne me quitte pas

Frédérique, Sébastien et Thomas
Louis,Vincent même ton Jean-François
Bruno,Richard,Marc et Anthony
Fabien,Mourad et puis Luc avec Mélanie
Je compense donc je suis
Et je m'en balance
Pas mal,si j'ai grossi
Je pense
Je pense alors je fuis
Je ne me vois même pas
Je réfléchis
Depuis que t'es parti,loin de moi
Tes copains eux au moins,ne me quitte pas....

Les bonheurs de SOFY Werchter 2006

Souvenirs Souvenirs...

WERCHTER 2006 RHCP mes photos

Voila mes petites photos perso... de mes piments épicés!

WERCHTER 2006 PLACEBO

Première prestation belge pour Placebo (excepté un concert privé à Bruxelles en mars) depuis la sortie de leur dernier album en date "Meds". C'est dire si la bande à Brian était attendue. Brian, très classe en Jeans et veste; épaulé par Stephen Olsdale (Jeans blanc, le torse juste couvert d'une cravatte en cuir blanche) ont assuré l'avant-scène d'un show millimétré, basé sur un parti-pris en forme de toute bonne idée: favoriser les titres du dernier album, et tisser le concert à leur image, c'est à dire en favorisant les titres les plus lents des autres albums. Dans ce contexte, les quelques chansons plus rock ("Black Eyed") ont même sonnées incongrues, au milieu d'une prestation fascinante de bout en bout grâce aux ambiances planantes tissées par un groupe au sommet de son art. Là où tant d'autres ont joué la facilité, Placebo prend le public à contre-pied dans un piège enchanté. Après deux titres, le message était passé pour le meilleur et... le meilleur: ce jour serait celui de Placebo. Même si aucune aspérité n'a dépassé de l'ensemble, nous ne nous sommes pas ennuyés une seconde durant ce spectacle qui rappellait par certains moments The Cure lorsque le groupe de Robert Smith se la joue ambient. Mention spéciale à "Running up the Hill", reprise de Kate Bush qui a glacé les sens de plus de 50.000 spectateurs. Du grand art!

Et bien, moi j'ai été un peu déçue... Il manquait de la peche et on avait l'impression qu'ils etaient limite blasés... J'ai préféré le showcase à Encore heureux, que j'ai pu disjoncter sur SPECIAL K (merci Brian de me faire penser à mon régime même pd un festival ou les crasses sont number one et la biere coule à flot) :-)

WERCHTER 2006 Arctic Monkeys

Il faudra s'y faire: le rock'n roll nous vient dorénavant de gamins à peine majeurs et plus de vieux cocaïnés qui tombent des arbres (n'est-ce pas Keith?). Moins de 100 ans à quatre sur scène, les singes polaires n'ont donc pas demandé leur reste pour livrer un concert très rock et traditionnel. Dépourvue de tout artifice, la prestation du gang de Sheffield se concentre sur la musique, et rien que la musique. Pas d'éclairages ni de jeux de scène exaltants, mais juste une suite de titres dont la simple interprétation suffira à provoquer les premiers mouvements de foule du jour. Encore rien en comparaison de ce qui attend les courageux fans de Placebo, scotchés au premier rang depuis ce midi; mais quand-même. Seul regret: l'air apathique du chanteur, parfois à la limite de l'arrogance, et une présence sur scène limitée au minimum syndical. Mais quel groove. Et comme disait l'autre: "It's only rock'n roll but I like it".

Perso! Jolie découverte et moi j'ai trouvé qu'ils prennaient leur pied et qu'ils savouraient la place de KELIS (moi aussi) sur la mainstage! Bravo les kids!

WERCHTER 2006 The Raconteurs

Première prestation belge du groupe-hobby de Jack White en vacances de vêtements rouges et de sa fausse-vraie soeur ex-femme Meg. Entouré de quelques solides lascars, dont quelques uns issus de chez ses potes les Greenhornes, Jack White a monté ce groupe juste pour le plaisir, et il le communique d'ailleurs dès les premiers titres. Il parle au public, remercie et il lui arrive même parfois de sourire! Rien de surprenant au niveau des titres joués: l'intégralité du dernier album, dopé par le succès du single imparable "Steady as she goes". Mais une prestation impeccable de bout en bout tant chaque membre du groupe maîtrise son affaire. Là où The Raconteurs aurait pu sombrer dans le blues rock passablement lassant, le groupe s'en sort chaque fois par une pirouette en forme de riff inattendu ou de coup de batterie dévastateur pour repousser les limites et nous envoyer un peu plus loin sur la route tracée par Jack. Celle de jouer pour le plaisier, d'improviser et de ne surtout plus cacher son bonheur.

Coup de coeur pour ce groupe ... Du pur bonheur ds les oreilles!

WERCHTER 2006 MUSE

Muse est venu, a vu et vaincu. Ce n'est certes pas la première fois que le trio emmené par Matthew Bellamy enflamme Werchter, mais cette fois encore, ils y ont réussi avec une maestria et une classe impressionnantes. Durant 75 minutes d'un set ramassé entre extraits du nouvel album attendu ce lundi et titres judicieusement choisis dans les prédécesseurs, Muse a livré le concert parfait. Entre grandes envolées lyriques ("Feeling Good") et bris de chaise électrique ("Time is running out", "Plug in baby"), le concert n'a pas connu une seconde de répit. Muse joue ses prestations comme on urine sur un fil chargé à 220 volts.

Les nouveaux titres passent parfaitement le test du live, les plus anciens n'ont plus aucune preuve à faire de leur efficacité sur les planches. Une des grands concerts du festival, sans aucun doute. Comme chaque fois que le trio britannique s'y présente, en fait.

Vraiment un moment exceptionnel... plein d'étoiles ds les yeux mais aussi un peu de stress, à la vue des gens qu'on sortait de la fosse (malaise, bousculade...) Muse c'est un ange diabolique! J'adore!

WERCHTER 06 MANU CHAO

Au cas où ce n'était pas encore clair pour tout le monde: le festival sera, cette année, placé sous le signe de la chaleur. La preuve avec Manu Chao et ses infernaux camarades de jeu qui n'ont pas laissé une seconde de répit aux festivaliers. Chauffé à blanc grâce à un excellent warm-up dans une petite salle hollandaise voici quelques jours, Manu affiche la toute grande forme, et alterne reggae, rap, influences brésiliennes et même franc pogo lorsqu'il se lache complètement. Bref, le temps d'une bonne heure, le festival a pris des airs de gigantesque rock party latine. Avortée sans pitié par les roadies des Red Hot Chili Peppers qui ont quasi coupé le courant pour venir installer le matériel de leurs petits protégés. Le show a donc été amputé de La Mala Vida, par exemple, mais c'est un moindre mal vu que Manu n'aura pas attendu le final pour mettre le feu.

C'est vraiment le moment, où ça a vraiment bousculé.... Heureusement que nous avions une garde rapprochées!

Concernant le timing, idem pour les RHCP! Pas de rappel!

WERCHTER 2006 RHCP

Me voila de retour de Werchter... Moments intenses... et franche rigolade!

Les Red Hot Chili Peppers ne sont définitivement plus le groupe qui s'agitait dans les soucis de dope et d'ego, et massacrait les chambres d'hotel de Los Angeles. Dorénavant, les Peppers sont clean et assurent le show, avec d'autres artifices qu'une chaussette cache-sexe pour faire parler d'eux. Ils ont alterné de nombreux extraits du dernier album Stadium Arcadium avec les hits attendus, tels Californication ou Scar Tissue, faisant plaisir au plus grand nombre, et affichant une maitrise technique de chaque instant.

Certains regretteront sans doute l'aspect un peu trop lisse de la prestation, mais tout le monde constarera que Kiedis et Flea n'ont jamais sonné de manière aussi cohérente. Les Red Hot sont revenus, et ne seront plus jamais les mêmes...

Petite déception, c'est le timing de ce live... trop court, beaucoup trop court... Super frustrant pour eux comme pour nous. Anthony avait l'air super déçu et embetté....

En esperant qu'ils nous reviennent pour un show de 3 h à Anvers :-)